Rêves de femme rêves de soumise réalisés

Catégories : Gang bang Femmes soumises SM camisole Femmes soumises sexuelles
il y a 7 ans

Lors d’un réveillon BDSM organisé par Fessestivites, Marlène a rencontré Marc, un Maître charmant, respectueux mais assez pervers. Le Maître lui plaisait énormément tout comme l’homme, cultivé, pieds sur terre, chef d’entreprise, musicien, de l’humour .... enfin, des qualités pouvant faire rêver une fille. Au lit la fusion se faisait, en BDSM elle découvrit énormément de choses grisantes. En moins d’un mois, Marlène était amoureuse et ne pouvait plus se passer de lui.

Si Marc est d’une nature ultra respectueuse, il n’hésite pas, lors des instants BDSM, à l’humilier, la rendre chienne soumise, à lui « marcher » ou à uriner sur elle. Très attentif avec elle dans la vie dite « civile » avec des fleurs, de petites surprises, des pensés pour lui être agréable, en BDSM les attentions sont les mêmes mais pour la pousser toujours plus loin dans son abandon au nom des plaisirs fous et intenses. Lors de leurs soirées coquines, il se complait à lui faire jouer des rôles pas très honorifiques du type chienne, esclave, prostituée, boniche. Si Marlène est une personne de caractère dans la vie professionnelle et civile, avec lui, elle se lâche complètement dans ces jeux de rôle et dans les cadres qu’il lui impose. Téléphoner en conduisant lui est interdit, être en retard ou dire des gros mots coûte cher à ses fesses, les punitions de Marc étant assez sévères. Elle les accepte bien volontiers, ce cadre lui sied bien, on s’occupe d’elle et lui donne de l’amour à tout niveau.

Quand il l’attache pour la baiser comme une esclave, dans ses envolées lyriques jouissives les mots crus l’excite. Pute, salope, chienne, garage à bite, ..... sont des mots qui la rendent folle. Elle les reprend bien volontiers en lui criant « oui je suis votre pute, votre..... » suivi de faites de moi ce que vous voulez. Après ces câlins sexe très BDSM, il redevient l’homme attentionné, la câline avec douceur, la couvre pour ne pas qu’elle n’ait froid, lui apporte une cigarette ou un verre.

Marc a constaté qu’elle apprécie les jeux de « prostituée », dans leurs moments sexe, elle jouit plus vite que lorsqu’ils font l’amour simplement. Un soir, alors qu’elle était aveuglée et attachée jambes écartées, il s’est amusé à jouer les « clients » en venant la prendre comme un simple vide couilles. Il entrait dans la chambre, la sautait en mimant la jouissance puis repartait en jetant des pièces dans une assiette en guise de « pourboire ». Marlène était trempée comme jamais elle ne l’avait été, elle jouissait à chaque « client ».

Lors de leur débriefings câlins, elle a fini par avouer que l’idée l’excitait et qu’elle était prête à vivre un expérience de pluralité, seulement s’il accompagnait sa soumise pendant l’acte. En guise de réponse, Marc a caressé le chaton gourmand tout en lui indiquant que s’il lui organisait un jour une rencontre de ce type, cela serait selon ses règles à lui et qu’une soumise n’avait pas à dicter ses conditions. Il lui rappela qu’elle avait accepté le no-limit et que lui seul pouvait décider de comment il pouvait jouer avec son corps. Et là, Marlène se fit chatte et se glissa entre ses jambes pour se faire pardonner d’avoir essayé de mettre des conditions.

Lors d’une soirée SM assez poussée, avec une longue séance de fouet puis du martinet sur son sexe qui l’avait rendu folle, il était arrivé à pousser Marlène dans ses délires pour qu’elle réclame des hommes pour la baiser. C’est lors de cette soirée qu’il décida de lui monter un plan d’esclave sexuelle sous un bondage contraignant.

LE JOUR J

Tout était prêt mais Marlène n’en savait rien. Ne rien savoir lui évitait de stresser et donc de moins apprécier les choses quand elles arrivent. Le portail n’était pas fermé à clé, il y avait un chiffon rouge accroché à la poignet afin de confirmer aux « clients » que c’était la bonne maison. Marc avait laissé la lumière extérieure allumée et avait collé un papier sur la porte d’entrée pour rappeler aux hommes qu’ils ne devaient pas parler, ni faire de bruit ni fumer tant qu’il ne leur donnerait pas le feu vert. Sur la table de la cuisine, il avait également prévu des boissons pour qu’ils puissent se désaltérer en attendant son feu vert. Un petit papier indiquait : servez-vous.

Marlène était couchée sur le dos entravée sur une table basse du salon avec les jambes écartées. Son corps strié permettait aux « clients » de voir que la belle soumise venait de vivre récemment d’intenses plaisirs sous le fouet. Marc invita les hommes à les rejoindre en silence, aveuglée Marlène ne pouvait les voir entrer et apprécier la plastique de son intimité on ne peut plus offerte.

  • Alors salope, tu veux de la bite ? Disait Marc en donnant des coups de martinet sur son sexe offert.

  • Oui Maître ! Répondit Marlène.

  • Plus fort, je n’ai pas entendu ! Cria Marc en abattant fortement le martinet sur son sexe.

  • Oui Maître, s’il vous plait, faites-moi baiser. Cria Marlène.

  • Combien de mecs faut-il pour assouvir une salope comme toi ? 3, 4, 5, 10 ?

  • C’est vous qui décidez Maître ! Répondit Marlène essoufflée par les coups de martinet toujours ciblés sur son chaton.

  • Auras-tu assez des hommes présents ce soir ? Demanda Marc en les invitant à la toucher.

Cinq hommes sur le sept prévus étaient venus, ce qui finalement faisait un bon résultat car les fantasmeurs ne manquent pas dans ce monde. Il n’en voulait que trois ou quatre mais il fallait prévoir les « lapin ». La belle allait devoir assurer. Ce n’est que lorsqu’ils se mirent à la tripoter que Marlène comprit que Marc n’était pas seul, qu’il ne serait pas le seul « client » de la soirée.

Aux pieds du mur de ses fantasmes, Marlène savait qu’elle ne pourrait pas reculer et que Marc irait jusqu’au bout. Elle se mit à le supplier de ne pas la laisser seule, elle n’eut que « c’est moi qui décide » comme seule réponse. L’un des mecs avait déjà sorti son sexe et se branlait alors que les autres commençaient à peine à se mettre à l’aise.

  • Je vous rappelle les règles messieurs. Baise brutale souhaitée, préservatif obligatoire, si vous lui jouissait dessus elle appréciera plus que si c’est dans votre préservatif mais le client est roi, c’est vous qui décidez. Par contre, je ne la détache pas, mais vous pouvez utilisez ses mains auxquelles j’ai laissé assez de liberté pour vous caresser le sexe ainsi que sa bouche. Amusez-vous bien, je vais boire un coup, cette salope m’a épuisé.

L’homme qui avait sorti son sexe le premier semblait en pleine forme, il s’agenouilla devant la table basse puis la prit cash sans plus de préambule. Marlène se mit à crier « Maître ne me laissez pas, je vous en supplie », Marc ne répondit pas. Elle se mit à le hurler la même phrase. En guise de réponse, Marc lui mit une gifle.

  • C’est quoi cette soumise de merde qui crie ? Arrête de me faire honte ! Lui dit Marc sur un ton ne laissant pas de réponse possible.

L’expression « Faire honte » lamina Marlène qui se reprit immédiatement et répondit qu’elle ferait ce qu’il voulait. Au bout d’un petit moment de caresses multiples et de baise intense, la belle commença à couiner de plaisir.

  • Dit leur que tu es une pute à baiser, le vide couilles de la soirée ! Lui ordonna Marc.

Marlène répéta ce qu’il avait demandé avant de reprendre en bouche une énorme verge qu’elle téta comme une affamée. Etant entre de bonnes mains et tous les hommes ayant enfilé un préservatif, Marc s’accorda une minute pour aller se servir un verre. La mélodie de la soumise sexuelle fut très agréable à ses oreilles, il s’accorda une cigarette en allant prendre place dans son fauteuil. Sur les cinq hommes, quatre seulement purent la baiser, le cinquième n’étant pas parvenu à bander. Trois purent éjaculer sur la belle avant de se regrouper dans la cuisine pour un dernier verre. Marc installa alors un trépieds en acier avec un magic wand massager posé directement sur le clitoris de la belle puis les rejoint.

Marlène ne tarda pas à se mettre à crier, cette symphonie en UT majeur n’inquiéta personne.

EPILOGUE

Marlène en état de « légume » elle fut portée à la douche et rincée à grande d’eau. Une fois couchée, elle voulut remercier son Maître mais hélas, elle s’endormit avec son sexe dans sa bouche. Elle était rassasiée ! Cela ne convint pas à Marc qui la retourna, lui mit un oreiller sous le ventre et la sodomisa sans plus de préambule. Le coït dura un moment, Marlène ronronnait en s’agrippant aux draps innocents. Elle resta fesses en l’air une bonne partie de la nuit, le sommeil l’ayant terrassée.

Marlène a réalisé son rêve, trouver un homme respectueux qui soit son Maître et ce soir là, un de ses fantasmes.

Ecrivaillon

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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